vendredi 10 février 2012

Escargot, go, go!

Aujourd'hui jeudi 10 février, Nicolas Sarkozy donne rendez-vous aux français et avance d'un pas de plus vers la candidature au poste suprême, alors qu'en Floride glissent en silence des hordes d'escargots géants.
Passons sur cette nouvelle confirmation de l'adage qui veut qu'un malheur n'arrive jamais seul, et étudions les conséquences de ces deux actualités sur notre vie quotidienne.

Apprenons déjà à distinguer les différents acteurs de ces évènements.
 - Nicolas Sarkozy est secoué régulièrement de tics et autres haussements d'épaules. De plus, il tire régulièrement sur sa veste. Il parle beaucoup et se déplace très rapidement.
L'avantage, c'est qu'on le voit et l'entend venir de loin.
  - Tout l'inverse d'un escargot, qui comme vous le savez, se déplace en glissant très lentement.
Par dessus le marché, il n'a pas d'épaule, et ne peut donc pas porter de veste.
Le gastéropode, à l'instar de François Hollande, reste silencieux, presque distant vis à vis de son environnement, uniquement concentré sur sa tâche du moment.
De là à conclure que l'escargot  est un animal qui penche politiquement vers la gauche molle, il n'y à qu'un pas que je me refuse de franchir.
Notez toutefois que François Hollande dispose d'une qualité indéniable sur l'escargot, il ne bave pas.

Fi des considérations de politique intérieure, revenons aux conséquences.
Gastronomiques: attendons nous à nous serrer la ceinture et à manquer très bientôt de beurre à l'ail.
Industrielles: Accroissement de la pénurie d'acier dans le monde pour répondre à l'augmentation de la taille des pinces à escargot.
Economiques: l'action de conquête des escargots américains ne va t-elle pas donner des idées à leurs cousins Bourguignons?
Sociales: Si il venait aux escargots l'idée de s'organiser et qu'émerge du groupe un leader charismatique, la Floride risquerai de basculer vers le chaos...L'avenir des gangs de Latinos est bien compromis, les retraités et la communauté gay n'auront d'autre choix que de collaborer.

Quand à nous, en France, restons vigilants: on a pas fini d'en baver.




Pièce jointe:  "Vous voulez qu'on vous débarrasse de ces racailles ? Et bien on va vous en débarrasser" (Allégorie)







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