dimanche 31 août 2014

Au théatre hier soir

Aujourd'hui, 31 août

C'est la rentrée, et tous les indicateurs sont au rouge.
Les médias le constatent chaque jour: les Français sont chauffés à blanc.
Et rouge sur blanc, tout fout le camp.
Nous, Peuple de France, sommes plongés dans le désarroi.
Les affaires politiques, la crise économique, Ebola et la déflation à nos portes et surtout le silence assourdissant d'Hervé Morin nous ont privé de notre confiance et de notre panache.
Bref, nous ne nous respectons plus.
Malgré toutes les performances de nos sportifs en natation, en judo, en saut à la perche, en Super Mario Kart ou en Korn Bout, l'heure est à l’abattement généralisé.

C'est pourquoi j'ai accepté avec plaisir l'invitation d'aller me changer les idées au théâtre.
Pour un vaudeville.

Pour moi, le vaudeville, ce sont des quiproquos, des portes qui claquent, des amants dans le placard, des cocus magnifiques et des femmes adultères.
Selon Wikipédia," un vaudeville est une comédie sans intentions psychologiques ni morales, fondée sur un comique de situations."
Pas d'intention psychologique ni intention morale, je confirme.
Et hélas cette fois, pas de comique non plus.

J'étais au premier rang pour assister à une représentation de "A gauche en sortant de l’ascenseur", d'après  "l'amuse gueule" de Lauzier, mise en scène en 1986 par Pierre Mondy, avec Daniel Auteuil.

Hier, c'était la version remastérisée, comme on dit de nos jours, mise en scène de Arthur Jugnot, le fils de Gérard, avec Stéphane Plaza, l'agent immobilier télévisuel.

Voilà.
Tout est dit.


Si je prends l'expérience par son bon côté, j'en ai tiré quelques précieux enseignements:

1) Le talent n'est pas forcément héréditaire
2) Daniel Auteuil peut vendre de l'immobilier
3) Hervé Morin doit s'exprimer maintenant

Serviteur


"Ciel, mon mari!"- Scène classique de vaudeville (Allégorie)





 

mercredi 27 août 2014

C'est en septembre...

Chaque année, peu après la rentrée et avant le Beaujolais Nouveau, c'est la sortie du Smartphone Apple de l'année.

La comparaison s’arrête là.

A l'inverse du Beaujolais Nouveau, l'I-phone n'a pas goût de cerise, quelque soit l'année de production.


Et le nombre d'application destinées au célèbre breuvage reste encore limité, hormis "Gueule de bois 3.0" et "Acidité Gastrique 2.1" livrées d'origine.

Sinon, pour l'I-Phone 6, le grand jour est fixé au 9 septembre.
Et c'est même pas un jour férié...

On rigolera bien quand nos petits-enfants greffés à leur I-phone 32 nous regarderons ébahis quand on leur dira qu'on a bien connu Steve Jobs, mais oui, on l'a vu dans une boite, posée dans le salon, qu'on appelait télé!

Serviteur

This is a revolution.


lundi 25 août 2014

On écrit sur les murs

Aujourd'hui un peu de lecture...Ou peut-on lire les phrases suivantes?

- Non au gaz de chips
- Libérez les claustrophobes
- En chacun de nous un pancréas
- Le calamar sait tout de nous
- Non, je n'irai pas à l'Hippopotamus
- Nos ennemis ont des nichons
- 3h07. C'est bizarre...

Allez apaiser cette vorace curiosité qui vous ronge comme le castor ronge l'érable sur ce Tumblr en écoutant ça (ou pas)

C'est pratique, les liens, pour passer des idées intéressantes et des informations essentielles en 10 lignes.

Serviteur

Pas de graffiti non plus...

dimanche 24 août 2014

10 lignes


Aujourd'hui, 24 aout 2014, plus de deux ans sans donner un avis.
Rien à dire?
Certainement pas, et pour citer le beau Michel, c'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule.
Mais le tourbillon de la vie, les aléas, la flemme aussi un peu m'ont tenu éloigné de mon clavier mais pas de vous, Amis, qui insistez gentiment pour de nouvelles chroniques.
Alors soit, vous l'aurez voulu, et tant pis si il s'agit d'un excès de politesse de votre part, je m'engage à reprendre mes billets d'humeur, même si mon avis n’intéresse personne, au moins ça soulage et la Sécurité Sociale s'en trouve autant soulagée que moi...Bien fait pour vous.
Pour aujourd'hui, pas de thème particulier, juste un engagement de publier de temps en temps en 10 lignes maximum, histoire de reprendre doucement le rythme, sur des sujets aussi variés que futiles.
Je suis preneur de vos thèmes, idées et commentaires, et si l'un d'entre vous me signale que ce premier billet de 2014 compte plus de 10 lignes, je tiens à lui répondre que je fais ce que je veux.
Pis c'est tout.

Plus que jamais, votre Serviteur.

Allez hop, en selle pour de nouvelles aventures!